Entreprise
Icelandair va signer un chèque de 18 millions de dollars pour prendre la main sur Wow, son concurrent islandais. Le projet industriel est simple : créer une compagnie aérienne plus imposante sur le marché très concurrentiel du transport low cost. Et notamment les lignes à bas coût entre l'Europe et les États-Unis, qui font actuellement l'objet de toutes les attentions des compagnies, qu'elles soient low cost ou pas d'ailleurs. Dans le cadre de cet accord, les actionnaires de Wow possèderont 5,4% du capital d'Icelandair.
Le fondateur de Wow, Skuli Mogensen, recevra 272 millions d'actions d'Icelandair dans le cadre du rapprochement des deux sociétés. L'entrepreneur affirme que l'accord de rapprochement va permettre de renforcer la compétitivité internationale des deux compagnies. Icelandair indique que les deux entreprises poursuivront leurs activités sous leurs bannières respectives. Ensemble, elles pèsent 3,8% du marché transatlantique.
Tous deux font transiter leurs vols low cost entre l'Europe et les États-Unis par l'aéroport de Reykjavik. Si cette offre est alléchante, l'activité peine à atteindre la rentabilité. C'est d'autant plus vrai que les frais ont augmenté en matière de carburant, dont les prix ont augmenté ces derniers mois. Un problème que rencontre aussi Norwegian, qui pourrait se retrouver dans le giron d'un groupe plus puissant comme Lufthansa.
Le fondateur de Wow, Skuli Mogensen, recevra 272 millions d'actions d'Icelandair dans le cadre du rapprochement des deux sociétés. L'entrepreneur affirme que l'accord de rapprochement va permettre de renforcer la compétitivité internationale des deux compagnies. Icelandair indique que les deux entreprises poursuivront leurs activités sous leurs bannières respectives. Ensemble, elles pèsent 3,8% du marché transatlantique.
Tous deux font transiter leurs vols low cost entre l'Europe et les États-Unis par l'aéroport de Reykjavik. Si cette offre est alléchante, l'activité peine à atteindre la rentabilité. C'est d'autant plus vrai que les frais ont augmenté en matière de carburant, dont les prix ont augmenté ces derniers mois. Un problème que rencontre aussi Norwegian, qui pourrait se retrouver dans le giron d'un groupe plus puissant comme Lufthansa.
