Ce n’est pas une nouveauté : le stress lié au travail augmente avec la pression que l’on a sur les épaules, que ce soit à cause de l’importance des tâches ou les deadlines à respecter. Une situation que certains employés réussissent à bien gérer tandis que d’autres peuvent se laisser surprendre et vaincre par le stress.

La Direction des études et statistiques (Dares) a publié son observatoire sur les tendances concernant les nouveaux contrats en France. Sans surprises, le Contrat à Durée Déterminée (CDD) reste le plus utilisé dans l’Hexagone, crise oblige.

Les postulants n’ont en effet pas le profil classique du manager mais viennent des plus grandes écoles du monde. Parmi les 5 300 postulants à ces cinq places chez Ferrari on trouve des diplômés d’Harvard, d’Oxford ou du MIT de Boston qui côtoient les diplômés des polytechniques de Paris, Milan ou Turin. Il y a même des diplômés de la prestigieuse université de Tsinghua à Pékin preuve, s’il en faut, de l’attrait du groupe et de la marque.

La gestion du stress est stratégique dans n’importe qu’elle société mais surtout chez les géants et d’autant plus quand ces géants ce sont des banques que la crise peut mettre à mal à tout moment. Goldman Sachs a peut-être trouvé une solution : des cours de méditation pour ses employés et ses traders.

Une étude réalisée auprès des entreprises italiennes par la société Cribis D&B s’est penchée sur le lien qui existe entre la capacité d’une entreprise à payer en intégralité, et à temps, ses fournisseurs et la composition de l’équipe dirigeante. Il semblerait que plus il y a de femmes à la tête de l’entreprise, moins celle-ci a de problèmes.

L’Allemagne subit depuis quelques années déjà un ralentissement crucial des naissances. Un problème qui risque d’entraîner un vieillissement de la population tel que la jeune génération ne pourra plus travailler pour maintenir la population plus âgée. Et le gouvernement, conscient de ce problème, cherche des solutions.

Le baromètre American Express concernant les TPE et les PME françaises ne semble pas montrer une véritable évolution concernant le ressenti du marché en France de la part des dirigeants des entreprises concernées. Avec une économie en berne, le marché stagne et les nouveaux clients se font rares.