Entreprise
L'Orient-Express, une marque créée par la Compagnie des Wagons-Lits, fait voyager rien que par l'évocation de son nom. Cette ligne de chemin de fer a transporté ses premiers passagers entre Paris et Istanbul en 1883, puis elle a fermé les portes de ses wagons en 1976. En 2013, la SNCF avait annoncé son intention de relancer la marque, mais rien n'est finalement venu. Mais l'arrivée d'AccorHotels dans l'affaire fait rebondir le dossier, avec cette fois l'idée d'un développement dans le secteur de l'hospitalité de luxe « à l'échelle internationale », font valoir les deux parrains.
Dans le détail, la SNCF — qui détenait Orient-Express à 100% — fait une large place à son nouveau partenaire, qui s'arroge la moitié du capital de l'entreprise. AccorHotels veut créer « une nouvelle collection d'hôtels prestigieux sous l'enseigne Orient-Express », précise le communiqué, et cette renaissance va passer par une nouvelle exploitation de l'image prestigieuse de la marque. Quant à la SNCF, elle conserve les sept voitures historiques de l'Orient-Express, « symboles de l'Art-déco français ». Ces voitures seront exploitées dans le cadre de voyages et de manifestations privées.
La SNCF avait organisé une exposition à l'Institut du monde arabe en 2014, mais rien de plus n'avait été tenté par la suite. La nostalgie et l'image restée très forte de l'Orient-Express sont très forts et si les choses sont bien faites, la marque est en mesure d'être relancée. En espérant évidemment que les deux partenaires ne se contentent pas de simplement apposer la marque sur des services sans valeur ajoutée.
Dans le détail, la SNCF — qui détenait Orient-Express à 100% — fait une large place à son nouveau partenaire, qui s'arroge la moitié du capital de l'entreprise. AccorHotels veut créer « une nouvelle collection d'hôtels prestigieux sous l'enseigne Orient-Express », précise le communiqué, et cette renaissance va passer par une nouvelle exploitation de l'image prestigieuse de la marque. Quant à la SNCF, elle conserve les sept voitures historiques de l'Orient-Express, « symboles de l'Art-déco français ». Ces voitures seront exploitées dans le cadre de voyages et de manifestations privées.
La SNCF avait organisé une exposition à l'Institut du monde arabe en 2014, mais rien de plus n'avait été tenté par la suite. La nostalgie et l'image restée très forte de l'Orient-Express sont très forts et si les choses sont bien faites, la marque est en mesure d'être relancée. En espérant évidemment que les deux partenaires ne se contentent pas de simplement apposer la marque sur des services sans valeur ajoutée.
