Entreprise
« Salariés et clients, mobilisons-nous pour l’ouverture des Monoprix jusqu’à 22 heures », c'est le nom de la pétition envoyée aux principaux responsables politiques pour tenter d'obtenir une fermeture plus tardive des magasins Monoprix à Paris. Les syndicats du Clic Paris, qui regroupe la CGT, SUD, l'Unsa et SCID avaient saisi la justice en 2016 ; dans leur ligne de mire, les conditions prévues pour bénéficier des dérogations au travail de nuit qui, selon eux, n'étaient pas respectées par l'enseigne. La justice leur a donné raison : les Monoprix parisiens doivent donc fermer leur portes avant 21 heures et ce, à partir du 16 octobre.
Un horaire qui n'arrange pas nécessairement tout le monde. À commencer par la clientèle parisienne qui apprécie de pouvoir faire des courses tard le soir. Mais aussi pour certains employés, en particulier les étudiants pour qui Monoprix offre un moyen de gagner un peu d'argent. La pétition mise en ligne par ces employés explique que ces derniers ne veulent finalement que « le droit de pouvoir travailler aux horaires qui [leur] correspondent le mieux ». Pour beaucoup d'étudiants, le travail après 21 heures représente en effet « la seule et unique source de revenus pour poursuivre leurs études ou tout simplement pour réussir à survivre et avoir un logement à Paris ou à proximité ».
Le texte de la pétition stipule aussi que « plusieurs centaines de jeunes vont être directement mis en danger et en difficulté financière par cette décision. Les jobs étudiants sont très difficiles à trouver à Paris et, pour beaucoup, avec des horaires incompatibles avec la capacité à assister aux cours ». Sans oublier les autres employés pour qui avoir un travail est « une chance ». La direction de Monoprix serait en négociation avec les syndicats afin d'arracher un accord sur l'ouverture après 21 heures et ce, avant le 16 octobre.
Un horaire qui n'arrange pas nécessairement tout le monde. À commencer par la clientèle parisienne qui apprécie de pouvoir faire des courses tard le soir. Mais aussi pour certains employés, en particulier les étudiants pour qui Monoprix offre un moyen de gagner un peu d'argent. La pétition mise en ligne par ces employés explique que ces derniers ne veulent finalement que « le droit de pouvoir travailler aux horaires qui [leur] correspondent le mieux ». Pour beaucoup d'étudiants, le travail après 21 heures représente en effet « la seule et unique source de revenus pour poursuivre leurs études ou tout simplement pour réussir à survivre et avoir un logement à Paris ou à proximité ».
Le texte de la pétition stipule aussi que « plusieurs centaines de jeunes vont être directement mis en danger et en difficulté financière par cette décision. Les jobs étudiants sont très difficiles à trouver à Paris et, pour beaucoup, avec des horaires incompatibles avec la capacité à assister aux cours ». Sans oublier les autres employés pour qui avoir un travail est « une chance ». La direction de Monoprix serait en négociation avec les syndicats afin d'arracher un accord sur l'ouverture après 21 heures et ce, avant le 16 octobre.
