Les postulants n’ont en effet pas le profil classique du manager mais viennent des plus grandes écoles du monde. Parmi les 5 300 postulants à ces cinq places chez Ferrari on trouve des diplômés d’Harvard, d’Oxford ou du MIT de Boston qui côtoient les diplômés des polytechniques de Paris, Milan ou Turin. Il y a même des diplômés de la prestigieuse université de Tsinghua à Pékin preuve, s’il en faut, de l’attrait du groupe et de la marque.