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Les services de Bercy ont pris en compte le revenu de remplacement net moyen que 16 pays européens ont accordé en 2014 à leurs chômeurs — un indice qui comprend les allocations et les aides de toutes sortes, après cotisations et impôts. En début d’indemnisation, les chômeurs français bénéficient ainsi de 67% de leur ancien salaire.
Un chiffre qui place les demandeurs d’emploi en France sous la moyenne européenne, qui s’établit à 69%. En Allemagne, l’indemnisation représente 67% également du salaire, comme en Irlande. Le Luxembourg est le pays le plus généreux en la matière avec 87% ; c’est le Royaume-Uni qui se montre le plus pingre avec un taux de 54%.
L’étude montre qu’en France, les allocations chômage sont la source de revenu principale du demandeur d’emploi. Ce n’est pas le cas en Allemagne, où l’on alloue des exonérations d’impôts. Au Royaume-Uni, les aides familiales sont plus conséquentes ce qui permet de compenser l’indemnisation directe, la plus faible des pays visés.
Un chiffre qui place les demandeurs d’emploi en France sous la moyenne européenne, qui s’établit à 69%. En Allemagne, l’indemnisation représente 67% également du salaire, comme en Irlande. Le Luxembourg est le pays le plus généreux en la matière avec 87% ; c’est le Royaume-Uni qui se montre le plus pingre avec un taux de 54%.
L’étude montre qu’en France, les allocations chômage sont la source de revenu principale du demandeur d’emploi. Ce n’est pas le cas en Allemagne, où l’on alloue des exonérations d’impôts. Au Royaume-Uni, les aides familiales sont plus conséquentes ce qui permet de compenser l’indemnisation directe, la plus faible des pays visés.
