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Tom Enders doit rester en poste jusqu'en avril 2019. Il pourrait ne pas briguer de troisième mandat, alors que les affaires le poursuivent. Il y a tout d'abord des enquêtes en Allemagne et en Autriche concernant la vente de 18 avions de combat Eurofighter en 2003, alors qu'il était à l'époque le patron de la branche Défense d'Airbus. Une autre enquête a été ouverte par le Parquet national financier et son homologue britannique autour de contrats réalisés au Kazakhstan sous la présidence de Nicolas Sarkozy.
Des irrégularités sur ces transactions laissent planer un parfum de corruption. Le Figaro a laissé entendre que Tom Enders ne chercherait pas à briguer un troisième mandat, une fois son mandat actuel s'achèvera c'est à dire en avril 2019. La rumeur veut même que le président exécutif quitte son poste plus tôt. Le numéro 2 d'Airbus, Fabrice Brégier, serait lui aussi sur le départ alors que son mandat s'achève l'année prochaine.
Tom Enders n'a pas voulu confirmer s'il briguerait un troisième mandat ; en revanche, il a voulu mettre les points sur les « i » : La décision sur mon avenir en tant que président exécutif d’Airbus n’est prise ni par la presse française ou le gouvernement français, ni par aucun gouvernement. Elle est prise soit par le conseil d’administration, soit par moi-même et idéalement par un consensus entre le conseil et moi-même ». La porte reste donc ouverte pour un débarquement plus tôt que prévu, si le conseil d'administration en décidait ainsi. Quoi qu'il en soit, le patron d'Airbus fait aussi savoir que son mandat courait jusqu'en avril 2019 et qu'il travaille dans le cadre de ce calendrier.
Des irrégularités sur ces transactions laissent planer un parfum de corruption. Le Figaro a laissé entendre que Tom Enders ne chercherait pas à briguer un troisième mandat, une fois son mandat actuel s'achèvera c'est à dire en avril 2019. La rumeur veut même que le président exécutif quitte son poste plus tôt. Le numéro 2 d'Airbus, Fabrice Brégier, serait lui aussi sur le départ alors que son mandat s'achève l'année prochaine.
Tom Enders n'a pas voulu confirmer s'il briguerait un troisième mandat ; en revanche, il a voulu mettre les points sur les « i » : La décision sur mon avenir en tant que président exécutif d’Airbus n’est prise ni par la presse française ou le gouvernement français, ni par aucun gouvernement. Elle est prise soit par le conseil d’administration, soit par moi-même et idéalement par un consensus entre le conseil et moi-même ». La porte reste donc ouverte pour un débarquement plus tôt que prévu, si le conseil d'administration en décidait ainsi. Quoi qu'il en soit, le patron d'Airbus fait aussi savoir que son mandat courait jusqu'en avril 2019 et qu'il travaille dans le cadre de ce calendrier.
