Une serviette, un transat, et... des notifications Slack. L'été 2025 confirme une tendance déjà amorcée : les vacances ne suffisent plus à se déconnecter. Et si l'idée même de repos était en voie d'obsolescence ?

Les aides à l’apprentissage viennent d'être rabotées, mais la petite entreprise, elle, n’a pas dit son dernier mot. Fidèle au dispositif, elle continue d’y croire. Parfois envers et contre tout.

Le 10 juillet 2025, la lutte contre les accidents du travail a franchi un cap : pour la première fois, une instruction conjointe entre le ministère de la Justice et celui du Travail érige en priorité nationale la lutte contre les accidents mortels au travail. Au cœur du texte, une volonté ferme de sanctionner sans délai les employeurs négligents, mais aussi les donneurs d’ordre trop longtemps épargnés.

Au fil des décennies, les primes d'intéressement et de participation ont évolué bien plus vite que l’inflation, devenant des éléments centraux de la rémunération globale. Un phénomène à la fois économique et stratégique pour les entreprises, qui optimisent ainsi la motivation et la fidélisation de leurs collaborateurs.

Face à la décision unilatérale de limiter le télétravail à un jour par semaine, les syndicats CFDT, CGT, CFTC et CFE-CGC de la Société Générale dénoncent un passage en force et une atteinte aux acquis sociaux. Entre grèves et actions symboliques, le dialogue social est au point mort dans une entreprise déjà marquée par des restructurations.

L’intelligence artificielle fait rêver, mais dans les couloirs des entreprises, les salariés balancent entre curiosité fébrile et scepticisme prudent. Derrière les promesses de productivité se cache une réalité bien plus ambiguë.

Le 11 juin 2025, Casa France, filiale tricolore du distributeur d’ameublement bien connu, a annoncé la fin probable de son activité après la défaillance de son homologue belge. Si l’entreprise a confirmé que le tribunal de commerce de Bobigny rendrait sa décision de liquidation judiciaire le 27 juin 2025, les faits sont déjà posés : les offres de reprise ont été jugées « irrecevables », et les 143 magasins français vont fermer. Reste une question cruciale : que va-t-il advenir des salariés ?