Six Sigma est un ensemble d’outils et techniques dont le but est d’améliorer significativement la productivité des processus d’une entreprise tout en en corrigeant les défauts. Cette méthode procède donc d’un effort accru d’optimisation de la chaine de production du bien ou du service considéré dans le but de satisfaire le client au plus près de ses besoins.
Le postulat qui sous-tend la démarche Six Sigma est simple : une entreprise capable de constater, par l’intermédiaire d’un technicien ou d’un retour client, qu’une de ses productions est défectueuse dispose des informations nécessaires pour remédier à ces défauts. Aussi, par un monitoring et une évaluation systématique des process, la méthode Six Sigma affiche pour objectif consacré de maintenir la production d’un bien ou d’un service par l’entreprise à un niveau inférieur à 3,4 défauts par million d’unités produites.
Le principal élément de méthode de Six Sigma se présente sous le sigle DMAIC. La décomposition de ce sigle donne les 5 étapes qui font la démarche de recherche de qualité proposée par Six Sigma. La première est bien évidemment une étape de Définition, et notamment de définition des besoins du client et des différents objectifs à atteindre pour les satisfaire. La seconde consiste en la Mesure de la performance des process existants pour accomplir les objectifs circonscrits en première étape. La troisième est le temps de la caractérisation et de l’Analyse des défauts. Caractérisée par un usage important de l’outil statistique, cette étape est au cœur de l’approche chiffrée qui fait l’originalité de la méthode Six Sigma. La quatrième phase voit intervenir le déploiement des solutions d’Amélioration des process (Improvement en anglais) et a pour objectif d’apporter un correctif opérationnel à l’ensemble des défauts préalablement identifiés. Enfin, la cinquième et dernière étape procède du contrôle de l’efficacité de la démarche, mais aussi, et surtout, de son intégration durable dans les process de l’entreprise.
La contribution immédiate de la démarche Six Sigma à l’activité d’une entreprise s’exprime en premier lieu en terme de qualité. Une chaine de production plus efficace et plus stable, une satisfaction optimale du client, une meilleure maîtrise des coûts et des délais ne sont à ce titre que des exemples du bénéfice procuré par une chasse méticuleuse au défaut de qualité. L’impact du Six Sigma en terme de coût est d’ailleurs tout à fait remarquable : en favorisant une meilleure allocation des emplois et des ressources et une meilleure conformité des produits et donc de leur écoulement sur le marché, le résultat de l’entreprise se trouve mathématiquement amélioré. Or pour les adeptes du Six Sigma, Motorola en tête, cette marge financière dégagée par une politique fine de maîtrise de la qualité doit être préférablement mise au service de l’innovation.
Conçue comme une méthode de gestion de la qualité tirant parti des outils statistiques, Six Sigma a pour objectif d’optimiser les résultats de l’entreprise en favorisant la satisfaction des besoins des clients. Cette méthode indifféremment reprise dans les secteurs industriels et tertiaires a donc une finalité productive, mais pas seulement : les différents ajustements et optimisations qu’elle met en oeuvre au sein de l’entreprise lui permettent aussi idéalement, de dégager une marge financière en vue d’un investissement ultérieur à destination de projets innovants. Orientée client, flexible et adaptable, la méthode Six Sigma renferme donc un potentiel important, susceptible de profiter à toute chaine de protection en quête de performance et même de renouveau.
Le postulat qui sous-tend la démarche Six Sigma est simple : une entreprise capable de constater, par l’intermédiaire d’un technicien ou d’un retour client, qu’une de ses productions est défectueuse dispose des informations nécessaires pour remédier à ces défauts. Aussi, par un monitoring et une évaluation systématique des process, la méthode Six Sigma affiche pour objectif consacré de maintenir la production d’un bien ou d’un service par l’entreprise à un niveau inférieur à 3,4 défauts par million d’unités produites.
Le principal élément de méthode de Six Sigma se présente sous le sigle DMAIC. La décomposition de ce sigle donne les 5 étapes qui font la démarche de recherche de qualité proposée par Six Sigma. La première est bien évidemment une étape de Définition, et notamment de définition des besoins du client et des différents objectifs à atteindre pour les satisfaire. La seconde consiste en la Mesure de la performance des process existants pour accomplir les objectifs circonscrits en première étape. La troisième est le temps de la caractérisation et de l’Analyse des défauts. Caractérisée par un usage important de l’outil statistique, cette étape est au cœur de l’approche chiffrée qui fait l’originalité de la méthode Six Sigma. La quatrième phase voit intervenir le déploiement des solutions d’Amélioration des process (Improvement en anglais) et a pour objectif d’apporter un correctif opérationnel à l’ensemble des défauts préalablement identifiés. Enfin, la cinquième et dernière étape procède du contrôle de l’efficacité de la démarche, mais aussi, et surtout, de son intégration durable dans les process de l’entreprise.
La contribution immédiate de la démarche Six Sigma à l’activité d’une entreprise s’exprime en premier lieu en terme de qualité. Une chaine de production plus efficace et plus stable, une satisfaction optimale du client, une meilleure maîtrise des coûts et des délais ne sont à ce titre que des exemples du bénéfice procuré par une chasse méticuleuse au défaut de qualité. L’impact du Six Sigma en terme de coût est d’ailleurs tout à fait remarquable : en favorisant une meilleure allocation des emplois et des ressources et une meilleure conformité des produits et donc de leur écoulement sur le marché, le résultat de l’entreprise se trouve mathématiquement amélioré. Or pour les adeptes du Six Sigma, Motorola en tête, cette marge financière dégagée par une politique fine de maîtrise de la qualité doit être préférablement mise au service de l’innovation.
Conçue comme une méthode de gestion de la qualité tirant parti des outils statistiques, Six Sigma a pour objectif d’optimiser les résultats de l’entreprise en favorisant la satisfaction des besoins des clients. Cette méthode indifféremment reprise dans les secteurs industriels et tertiaires a donc une finalité productive, mais pas seulement : les différents ajustements et optimisations qu’elle met en oeuvre au sein de l’entreprise lui permettent aussi idéalement, de dégager une marge financière en vue d’un investissement ultérieur à destination de projets innovants. Orientée client, flexible et adaptable, la méthode Six Sigma renferme donc un potentiel important, susceptible de profiter à toute chaine de protection en quête de performance et même de renouveau.